Conférence
A l’orée du troisième millénaire, la sensibilité prend un sens nouveau lorsqu’il s’agit de doter l’art de fonctions jusque-là réservées au domaine du vivant. Les progrès techniques sont tels que l’artiste est désormais en mesure d’inventer un monde virtuel aux réflexes voire à l’intelligence proche du notre. L’art numérique serait-il sensible ? Qu’en est-il de la relation de l’homme à la machine ?
Elise Aspord qui se dessaisie rarement de son ordinateur portable où sont stockés un grand ombre d’images alternera discours et projection sur grand écran dans le très moderne auditorium de la Médiathèque d’Este.